Psychotérapeute en dordogne (24) à PERIGUEUX (24000) ou BERGERAC (24100)
Psychologue en dordogne (24) à PERIGUEUX (24000) ou BERGERAC (24100)
Psychopraticien en dordogne (24) à PERIGUEUX (24000) ou BERGERAC (24100)
Accompagnement thérapeutique en dordogne (24) à PERIGUEUX (24000) ou BERGERAC (24100)
Psychotérapie en dordogne (24) à PERIGUEUX (24000) ou BERGERAC (24100)
Lieux d'interventions pour les formations le managment et l'accompagnement thérapeutique :
Accompagnement thérapeutique :
psychotérapeute Dordogne (24)
psychotérapeute Perigueux (24000)
psychotérapeute Bergerac (24100)
psychotérapeute Mussidan
psychotérapeute Vergt
psychotérapeute Neuvic
psychotérapeute St Alvere
psychotérapeute Ste Alvere
psychotérapeute Saint Alvere
psychotérapeute Sainte Alvere
psychotérapeute Le Bugue
psychotérapeute Lalinde
psychotérapeute Creysse
Psychopraticienne :
psychopraticien Dordogne (24)
psychopraticien Perigueux (24000)
psychopraticien Bergerac (24100)
psychopraticien Mussidan
psychopraticien Vergt
psychopraticien Neuvic
psychopraticien St Alvere
psychopraticien Ste Alvere
psychopraticien Saint Alvere
psychopraticien Sainte Alvere
psychopraticien Le Bugue
psychopraticien Lalinde
psychopraticien Creysse
Psychothérapie :
psychologue Dordogne (24)
psychologue Perigueux (24000)
psychologue Bergerac (24100)
psychologue Mussidan
psychologue Vergt
psychologue Neuvic
psychologue St Alvere
psychologue Ste Alvere
psychologue Saint Alvere
psychologue Sainte Alvere
psychologue Le Bugue
psychologue Lalinde
psychologue Creysse
Conseil et accompagnement pour les parents soucieux d’optimiser la relation avec leurs enfants
Relation parent enfant Dordogne (24)
Relation parent enfant Perigueux (24000)
Relation parent enfant Bergerac (24100)
Relation parent enfant Mussidan
Relation parent enfant Vergt
Relation parent enfant Neuvic
Relation parent enfant St Alvere
Relation parent enfant Ste Alvere
Relation parent enfant Saint Alvere
Relation parent enfant Sainte Alvere
Relation parent enfant Le Bugue
Relation parent enfant Lalinde
Relation parent enfant Creysse
Agnes COINTEPAS
Mon travail d'accompagnement repose sur une attention particulière à la personne que vous êtes, quelque soit la situation que vous traversez. Cette attention bienveillante autorise l'expression des sentiments et des émotions et permet l'accueil de qui vous êtes dans votre intégralité.
Les consultations ont lieu en Dordogne (24)
à Périgueux et Beauregard et Bassac ou par téléphone.
Je propose cet accompagnement dans les domaines suivants :
Espace de parole |
Permettre l'expression des sentiments et des émotions face à une difficulté passagère.
Qui n'a pas souhaité être vraiment entendu lorsque des sentiments de tristesse, de colère, d'abandon ou d'humiliation nous affectent ?
Une consultation peut être une simple écoute bienveillante, juste pour poser un problème passager. C'est s'offrir un moment privilégié, une parenthèse enchantée, pour se donner la possibilité d'exprimer une difficulté en présence d'une personne neutre et bienveillante.
Par cette écoute attentionnée, je me positionne en tant que témoin. Je suis l'interlocuteur privilégié, le facilitateur, qui offre la possibilité à la personne que vous êtes d'exprimer ses émotions, ses ressentis en prenant toute l'importance de votre vécu. Par cette attitude, je favorise une réhabilitation du droit à l'expression de qui vous êtes.
La communication thérapeutique est également une voie d'évolution personnelle qui peut avoir pour objectif de :
Accompagnement thérapeuthique |
L'accompagnement thérapeuthique est une démarche
de réconciliation avec les parties de soi blessées ou délaissées.
C'est une réconciliation avec nous-même pour retrouver notre unité et favoriser le déploiement de Soi.
Un vécu traumatisant au cours de notre vie peut créer des émotions
tellement fortes qu'elles pourraient déstabiliser notre équilibre
psychique. Celui que nous étions à ce moment là, avec ses émotions, est
alors momentanément mis de côté dans notre inconscient pour maintenir
cet équilibre et nous permettre de continuer à vivre "malgré tout".
Mais à la longue, ce refoulement peut produire des poches de souffrance
occasionnant des remontés émotionnelles ou des symptômes. Elles sont la
manifestation des parties de soi en rupture avec nous-même qui
appellent notre attention et notre bienveillance.
L'objectif est alors, non pas de reprendre contact avec la souffrance, mais de porter son attention sur la personne que nous étions à ce moment là, et de reconnaitre à quel point elle a souffert.
Il n'y a rien à forcer, rien à changer, juste à apporter son attention
sur des parties de soi laissées en attente, en manque de
reconnaissance. L'accompagnement se fait de manière non-directive en
accueillant totalement et sans jugement ce qui est dit, les émotions et
le vécu.
Cette approche n'a pas pour but d'apporter des
solutions ou de supprimer des symptômes. C'est un processus de
réconciliation avec soi-même et de déploiement de soi en accueillant
avec bienveillance ce que nous sommes et ce que nous avons été.
Le soulagement apparait lorsque l'être que nous étions se sens reconnu par la considération que nous lui apportons. Il sort du refoulement et devient alors une ressource au quotidien.
Voici quelques exemples de situations pouvant motiver une consultation
Parce que cette démarche est avant tout un chemin de conscience, une fois que les zones d'ombre sont mises en lumière, les changements peuvent s’opérer et l’être peut reprendre la responsabilité du cours de sa vie.
Les effets bénéfiques de cette démarche personnelle et profonde peuvent se révéler par :
Conseil au rôle parental |
Par mon expérience dans le domaine de la psychologie de l'enfant, je propose un accompagnement spécifique destiné aux parents soucieux d’optimiser la relation avec leurs enfants et adolescents.
Reconnaitre l’importance du rôle de parent présuppose que tout ne va pas de soi, que la connaissance n’est pas innée. Il n’est pas toujours évident d’avoir l’attitude adaptée, de comprendre, de respecter les besoins de l’enfant, tout en l’amenant, lui aussi, à comprendre et à respecter ceux de l’adulte.
Soutien des personnes et des familles endeuillées |
Soutien et accompagnement à la traversée des différentes étapes du deuil.
Qu'est-ce que le deuil ?
Le travail du deuil est un processus psychique par lequel une personne parvient à se détacher de la personne disparue et à donner du sens à cette perte. (Petit Robert).
Mais suivant l'histoire de chacun tout deuil est unique.
Traverser cette crise, ce bouleversement, ce cataclysme demande souvent
l'écoute d'une personne neutre, bienveillante et qui connait les
composantes du deuil.
Ces dernières s’articulent entre : sidération, négation, révolte, difficultés de communication, souffrance intense, ambivalence des sentiments éprouvés, culpabilité, dévalorisation, solitude, perte des repères et de la réalité, paralysie des facultés de perception, dépression, perturbation des relations avec l'entourage, entre générations, au sein du couple, avec les enfants...
Accompagner une personne endeuillée consiste donc à :
Aide à la réalisation de projets |
Clarification des objectifs et travail sur les désirs, les motivations, et les blocages éventuels.
Elaborer un projet demande une estimation des actions possibles. Cette démarche est porteuse de changements et suscite un travail de la personne sur ses désirs, ses motivations, ses blocages éventuels. Le projet permet l’émergence de sens, il délimite les raisons que le sujet invoque pour agir. Il est chargé d’expliciter, de prescrire, de planifier.
Cette démarche existentielle et riche place le sujet comme acteur de son devenir par la mise en place de contrats avec soi-même.
Mon accompagnement se fonde sur une écoute, un apport théorique, et des propositions d'actions et de soutien dans la continuité.
J'interviens en Dordogne (24) et sur les départements : 16 - 17 - 19.
Cabinet de formation Formatrice avec 18 ans d'expérience au sein de la fonction publique territoriale. je propose des stages pour les entreprises ou associations dans les champs de :
Ces formations s'adressent à des public variés :
Je réalise les plans de formation en fonction des objectifs des commanditaires. |
Supervisions Accompagnement des équipes pour un travail de supervision et d'accompagnement pour plus de coopération au sein des services. La supervision dans les groupes en relation d'aide est un axe de la formation
continue. Elle permet aux professionnels de s'interroger sur leurs
pratiques. |
Conférences J'anime des conférences et débats. |
proposition de contenu : |
Toute personne souhaitant améliorer ses capacités relationnelles en apprenant à mieux communiquer.
Durée : |
3 ou 4 jours | Nombre de participants : |
12 à 15 personnes |
Pré-requis : |
avoir suivi le niveau 1 : Les bases de la communication. |
Objectifs : |
à l'issue de la formation les participants sont capables : |
Toute personne souhaitant se perfectionner en communication interpersonnelle.
Durée : |
3 jours | Nombre de participants : |
12 à 15 personnes |
proposition de contenu : |
Toute personne souhaitant mieux se connaître et se positionner dans ses échanges personnels et professionnels.
Durée : |
3 jours | Nombre de participants : |
12 personnes |
proposition de contenu : |
Personnels ayant un poste à responsabilité et des subordonnés.
Durée : |
3 jours | Nombre de participants : |
12 personnes |
Pédagogie participative :
Personnels ayant un poste à responsabilité et des subordonnés.
Durée : |
3 jours | Nombre de participants : |
12 personnes |
Pré-requis : |
Accepter d’échanger sur les concepts suivants : culpabilit é, victimisation, conflit et violence. |
Objectifs : |
à l'issue de la formation les participants seront capables : |
Pédagogie participative :
Toute personne confronté à des situations ou des publics violents .
Durée : |
3 jours | Nombre de participants : |
12 personnes |
Personne ne peut douter de la pluralité des usages du terme de communication. A tel point que ce terme offre une parfaite illustration de l’aphorisme du philosophe autrichien Wittgenstein pour qui « un mot n’a pas de sens mais seulement des significations ».
En effet, le sens de ce mot n’est pas fixé une bonne fois pour toute dans la mesure où il dépend directement du contexte dans lequel il est utilisé. Dit autrement, il n’est pas aberrant d’affirmer que le terme de « communication » n’a pas de sens mais seulement des usages qui varient en fonction des situations. Si le flou de la notion de communication ne fait aucun doute, on peut tout de même tenter de discriminer les principaux domaines auxquels elle se rapporte.
A titre d’exemple, voici trois propositions pertinentes de définition
de la notion de communication proposées par des chercheurs et universitaires
en sciences sociales.
Dans un livre intitulé L’explosion de la communication, Serge
Proulx et Philippe Breton sépare le champ de la communication en trois
grands domaines distincts :
Afin de distinguer les activités humaines qui relèvent de la communication, Daniel Bougnoux propose d’associer le concept de communication à toutes les formes d’action de l’homme sur l’homme, par opposition à la relation sujet/objet. L’action communicationnelle, affirme l'auteur ne met pas en relation le sujet et l’objet mais le sujet avec le sujet. S’il fallait définir ce terme par une simple formule, on pourrait ainsi affirmer que la communication, c’est l’homme agissant sur les représentations de l’homme par le détour des signes.
La communication, c’est aussi, et même avant tout, du lien social. Toutefois, si l’on en croit Philippe Breton , le discours qui fait de la communication une valeur centrale à laquelle il est nécessaire de recourir systématiquement pour résoudre toutes sortes de problèmes sociaux et économiques est, d’apparition historique assez récente.
Selon lui, ce qu’on appelle l’idéologie de la communication est née en occident dans les années comprises entre 1940 et 1950. Jacqueline de Romilly nous précise qu'au temps de la Grèce antique, la parole permettait déjà « d'offrir une substitution » à la situation de violence, avec la mise en place des jeux sur l'agora , et de l'institution du tribunal, qui opérait comme un ersatz à la vengeance et à la guerre... Jacqueline de Romilly, la Grèce antique contre la violence (page 16-17)
Comme nous le suggère Daniel Bougnoux dans son dictionnaire sur les
Sciences de l’information et de la communication, pour comprendre le
succès de ces discours, il est nécessaire de partir de la symbolique
du terme de communication qui s’oppose à celui de violence. Cette
alternative entre communication et barbarie, affirme Bougnoux, remonte au temps
de la Grèce ancienne.
Les grecs qualifiaient en effet de barbares, c’est-à-dire, étymologiquement, ceux qui parlent par borborygmes, toutes les populations qui ne parlaient pas leur langage, donc qui ne pouvaient pas communiquer avec eux et accéder, du même coup, à la raison. Les citoyens grecs sont particulièrement encouragés à prendre la parole et ceci fait partie des devoir civiques.
Philippe Breton nous précise à cet effet :
« la justice grecque inaugure un changement radical qui seule permet un début de pacification des rapports sociaux... Un pas décisif a été franchi, on a imaginé un monde moins violent et c'est la parole qui est l'outil de cette transformation. De cet espoir, la parole sort avec le statut d'un idéal pacificateur ».
En 1952, l'ingénieur Shannon élabore une théorie, en lien avec des observations et des travaux réalisés par les ingénieurs en télécommunications. Son objectif était d'améliorer la transmission d'une information d'un point à un autre. Il met en évidence la relation entre un émetteur, la personne qui envoie le message et un récepteur la personne qui le reçoit. Pour que tout ceci soit compréhensible il est nécessaire d'avoir un codage, ainsi qu'un canal de communication. Afin d'être efficace, ce système doit avoir une modalité de contrôle : c'est le feed-back, ou boucle de rétroaction du récepteur vers l'émetteur.
Le modèle Shannon, issu de la cybernétique a remporté un
grand succès.
Ce modèle de communication ne tient pas compte des rétroactions
qui sont réalisées par les individus. Ces derniers sont sujets à des
contraintes sociales, des systèmes de normes et de valeurs et subissent
l'influence de facteurs psychologiques.
Une approche nous intéresse davantage pour ce thème,
c'est l'analyse psychosociologique de la communication.
Pour l'auteur Jean-Claude Abric
« La communication est l'ensemble des processus par lesquels s'effectuent les échanges d'informations et de significations entre des personnes dans une situation sociale donnée.Échanges d'information, de signification : les processus de communication sont donc fondamentalement sociaux, ils reposent et sont déterminés par les phénomènes d'interaction. Toute communication est une interaction. Étant une interaction, elle se présente comme un phénomène dynamique produisant une transformation. C'est-à-dire qu'elle s'inscrit dans un processus d'influences réciproques entre des acteurs sociaux. »
Acte social par excellence, telle est la communication. Démarche consciente
ou inconsciente, elle nous relie les uns aux autres. Watzlawick, théoricien
de la nouvelle communication aimait à dire : « on ne peut pas
ne pas communiquer. »
Cette communication est régie par un système à canaux
multiples, l'expression orale est enrichie parfois de gestes, de mimiques,
de positions corporelles, de silences, etc. tous porteurs de signification.
Jean-Claude Abric poursuit en disant :
« la communication a donc toujours une finalité, un objectif. Cet objectif peut-être explicite, implicite ou non conscient… la question fondamentale que l'on devra se poser pour comprendre et intervenir dans les situations de communication sera : quels sont les objectifs réels des acteurs ? Car bien entendu, les objectifs annoncés peuvent parfaitement masquer des objectifs réels totalement différents.. . »
La communication fonctionne comme une grille de lecture des pratiques sociales.
Ces pratiques sociales sont alors perçues comme comportant une dimension
symbolique de travail sur les représentations que mettent en scène
les institutions et les individus dans tous les domaines de l’existence.
Suivant les personnes que nous rencontrons, nous n'établissons pas toujours nos échanges, avec le même engouement. Avec certains interlocuteurs notre degré de communication, bien que très agréable, est moins engageant, moins intime. A l'inverse, nous pouvons choisir, lors de situations particulières, d'oser un partage plus personnel voir affectif
Colette Portelance a établi une classification afin que toute personne puisse se situer quant au genre de communication qu'elle veut développer avec son entourage, le but étant de saisir, le pourquoi de ses satisfactions et de ses manques sur le plan relationnel. Cet auteure parle de cinq types de communication ou niveaux d'intimité.
Cette communication sert dans le quotidien à ce qui est utile, à l'un ou l'autre des protagonistes.
L'adolescent se situe parfois dans une relation utilitaire au savoir qui lui sont transmis par ses enseignants. Il intègre volontiers les informations qui correspondent à ses intérêts du moment, ou qui lui sont, utiles. Face aux autres connaissances, il présente souvent une attitude d'indifférence ou d'ennui quand il ne perçoit pas, ne comprend pas « à quoi elles peuvent lui servir » ; notamment certains savoirs littéraires, philosophiques.
Ce type de communication est inévitable dans la relation.
Peu de profondeur, peu d'engagement, mais elle entraîne souvent une forme
d'insatisfaction à long terme.
C'est souvent un échange, non impliquant. Les interlocuteurs parlent sur des personnes ou des événements extérieurs à eux-même.
La vérité intérieure fait défaut à ce genre de relations. On parle de tout, sauf de soi.
Colette Portelance nous rappelle que le mot :
« narrer veut dire raconter et est synonyme de dépeindre, relater, rapporter. Quand on raconte quelque chose, on raconte généralement des faits... Il est difficile de vivre une relation satisfaisante quand la communication s'arrête à la narration des faits et quand elle ne va pas plus en profondeur. »
Ces types utilitaires, impersonnels et narratifs sont plus propices au contact
social, ils permettent de recevoir et de donner sur le plan intellectuel
ou matériel.
Cette communication révèle la personne humaine dans ce qu'elle a de particulier, d'unique, d'intime. Elle est essentiellement basée sur l'écoute de soi-même et de l'autre. Elle offre des échanges en profondeur, permettant l'expression des émotions et des sentiments.
« L'être humain est fondamentalement un être de relation et c'est dans la relation affective qu'il trouve la nourriture essentielle à sa réalisation. »
Cette communication incite et provoque des échanges sur un plan personnel. Les sentiments, les besoins, les peurs, les souhaits sont exprimés dans le but d'un plus grand partage, d'une plus grande connaissance de soi ou de l'autre, d'une transformation des affects négatifs en affects positifs.
L'auteur précise :
« la communication intime, par la qualité de l'engagement, de l'investissement et de l'authenticité qu'elle suppose, contribue, à plus ou moins long terme, au rétablissement et au renforcement du monde intérieur par l'expérience d'une relation profonde et vraie. Lorsque la communication atteint ce niveau d’intimité, elle devient non seulement libératrice mais créatrice … »
Comme nous l'avons vu précédemment dans cet écrit, les
objectifs des différents acteurs présentent bien des dichotomies.
Pour aller plus loin, il nous faut développer davantage ce concept de
communication...
Lewin propose un modèle pour expliciter les comportements des individus
lors d'interactions.
Il développe l'idée selon laquelle, tout individu est soumis à un
ensemble de forces. Celles-ci peuvent s'apparenter à des pressions de
l'environnement, des pressions psychologiques, des contraintes propres à l'histoire
de l'individu. Tout ceci va engendrer des besoins, des tensions et provoquer
des comportements spécifiques. Toute tension génère un
besoin spécifique : réduire la dite tension pour revenir à un état
d'équilibre.
La force positive provoque une tension psychologique positive (attraction)
qui détermine un besoin spécifique : établir ou maintenir
la relation.
Le comportement résultant sera par exemple : sourire, dire un mot aimable,
etc. Les comportements correspondant à ce contexte « positif » sont
appelés comportements d'approche. Ils constituent le jeu des désirs.
La force négative provoque au contraire une tension psychologique négative
(répulsion) qui détermine un besoin spécifique : éviter
ou rompre la relation. Le comportement résultant sera par exemple : être
agressif, détourner le regard, s'opposer,... etc. Ces comportements
d'évitement constituent le jeu des défenses. .
Il sera nécessaire dans toute analyse d'interactions de chercher à savoir :
« Ce double jeu des forces positives et négatives correspond à celui des désirs et des défenses qui fait que toute communication repose ou produit un système de contrôle, de transformation, de filtrage ou de sélection de l'information qui peut certes être délibéré mais qui dans la plupart des cas est inconscient. »
Plusieurs mécanismes apparaissent dans les interactions communicationnelles
Ce sont des procédés inconscients qui consistent à rejeter sur l'autre ce que le sujet refuse inconsciemment d'accepter comme faisant partie de lui. La personne qui se défend par la projection réagit à son entourage en lui attribuant les pulsions, les habitudes, les émotions qu'elle n'accepte pas de vivre elle-même parce qu'elle les juge inconsciemment anormales, mauvaises ou insupportables.
Assimilation d'autrui.
Mécanisme permettant d'assimiler la pensée d'autrui à la sienne... (Il fonctionne comme moi). à ce moment là il y a le danger, de ne pas prendre en compte la différence, la spécificité de l'interlocuteur.
Projection de comportement.
Ce mécanisme permet d'attribuer aux autres des comportements permettant
de justifier des attitudes envers lui. (Par exemple attribuer à l'autre
, un comportement agressif qui justifie ma propre agressivité projetée...)
Moyen inconscient utilisé par le psychisme pour se protéger contre la présence d'émotions désagréables qui émergent d'un processus relationnel réel ou imaginaire. L'individu se défend inconsciemment et ne peut donner satisfaction à ses besoins parce que son attitude défensive bloque l'écoute de sa vie émotionnelle.
Cela peut se manifester par un refoulement des émotions.
Flora Luciano-Bret, précise que l'enfant à force de se maîtriser, de s'immobiliser, d'adapter son écriture, son langage s'habitue tant bien que mal à « s’en corseter à s’aseptiser. L'école est intuitivement perçue comme une machine à refouler. Or nous savons depuis la psychanalyse que tout ce qui est refoulé est susceptible d'émerger en puissance et en différé. »
Au moment de sa formation le mécanisme de défense a toute sa raison d'être, car il nous protège, et constitue en quelque sorte un moyen de survie. Mais à long terme s'il n'est pas regardé, analysé, il peut provoquer une sorte d'enfermement.
Certains adolescents
pris dans leur tumulte émotionnel peuvent se barricader, et devenir
insensibles à leurs émotions comme à celles des autres.
Ceci peut avoir de graves conséquences au niveau relationnel. Car c'est
au moment où la personne est le plus en souffrance qu'elle provoque
une fermeture, refusant toute aide, et consolidant sa forteresse intérieure.
Selon Serge Moscovici, il n'existe pas de coupure entre l'univers intérieur et extérieur d'un individu : sujet et objet ne sont pas distincts. Le sujet ne réagit pas au stimulus tel qu'il est, mais à un stimulus déjà reconstruit en fonction de la relation que le sujet entretien avec l'objet. Il n'y a donc pas de réalité objective, mais une réalité représentée.
Jean-Claude Abric appelle représentation, « le produit et le processus d'une activité mentale par laquelle le sujet ou le groupe reconstruit le réel auquel il est confronté et lui attribue une signification spécifique. »
Ceci implique que :
A partir des trois éléments constitutifs d'une situation de communication
qui sont : soi, autrui et la tâche dans son contexte (objectif et environnement
de la communication) nous considérerons les trois modes de représentation
correspondant :
C'est la plus complexe à étudier. Nous pouvons considérer deux niveaux :
C'est l'image que je me fais de l'autre : ses caractéristiques psychologiques
d'une part, sociales d'autre part.
Cette représentation de l'autre joue un rôle déterminant
dans la communication, relativement aux types d'attitudes ainsi qu'aux codes
et supports utilisés. L'inadéquation entre la représentation
de l'autre et ce qu'il est réellement est une cause importante de dysfonctionnement
dans la communication.
La représentation de la tâche intervient directement dans la démarche cognitive des individus. Elle inclut la représentation de la finalité des situations (enjeu), ainsi que celle des composantes et de la nature de la tâche, qui vont déterminer les moyens à mettre en oeuve pour la réaliser.
La représentation du contexte détermine le type de comportement
acceptable par l'individu dans cette situation.
Pour conclure sur cette représentation simplifiée du concept
de représentation, nous soulignons les points suivants :
Pour appréhender
une situation de communication, il est nécessaire de prendre en compte
les représentations de l'autre..
Merci pour le stage. Le groupe était très porteur... Je me remets en question, je bouge, je réfléchis autrement. Votre stage est un éclairage pour moi, une aide, un outil de réflexion en groupe. Continuez qu'on avait fait du bien merci encore.
Evelyne.
Au-delà de ce que la formation m’a apporté au niveau professionnel dans les relations avec mes collègues ou supérieurs avec lesquels j’essaie le plus souvent possible de gérer les conflits grâce à la CNV et d’exprimer sans agressivité des choses qui me mettent en colère, ces 6 jours de formation m’ont surtout apporté sur le plan personnel et familial.
Maman d’un garçon de 6 ans arrivé à 19 mois dans
notre foyer par adoption, il faut souvent gérer des crises de colère
et des refus d’autorité.
La formation avec Agnès m’a donné des clés pour
comprendre mieux, agir au mieux face à des situations où je
me sentais parfois dépourvue et l’aider à exprimer ses
doutes, ses colères.
J’utilise le plus possible le « je comprends » très libérateur, le « je tu nous » pour trouver des solutions en concertation avec mon fils, ou encore « de quoi tu as besoin » pour l’inciter à s’exprimer, le coussin de colère, etc… La formation m’a permis d’avoir une approche différente qui permet de désamorcer les conflits et les crises ou du moins d’en diminuer l’intensité et les effets. Lui, se sent mieux compris, et moi fière d’avoir trouvé une alternative à la colère, aux cris, au repli sur lui-même.
En somme j’ai appris à mieux le comprendre, à mieux communiquer
et avoir des comportements mieux adaptés aux situations à gérer.
Même si au début, utiliser les outils de communication que nous
a livrés Agnès n’étaient pas pour moi une réaction
naturelle, ils font partie aujourd’hui de mon quotidien (même
si parfois je vois bien ce qu’il faudrait faire sans pouvoir y arriver
!).
Céline
Juste ce petit message pour vous dire merci.
Je ne vous cache pas que j apprehendais un peu ce stage même si j avais
decidé de le faire.
Le premier stage de communication m'avait
fait prendre en compte certaines choses dans ma vie personnelle.
Je suis dans une autre partie de ma vie même si je n'ai pas pris toutes
les décisions j'essaie de faire pour le mieux.
Je vous remercie pour ce stage qui m a conforté dans le choix que je
faisais et que je n avais aucune raison de me sentir coupable de vouloir
penser à moi.
Merci encore.
Nathalie
1. Démarche préliminaire.
Mon premier travail consiste à créer entre moi et les participants
une complicité « relative », qui me semble favorable à une
baisse de l'anxiété vécue par certains stagiaires. Toutes
démarches de formation contribuent à des changements qui peuvent
provoquer des peurs ; peur de l'inconnu, d’être jugé, peur
de l'échec. Paradoxalement, pour faciliter un changement chez quelqu'un,
il faut commencer par accorder de l'importance aux obstacles qu'il voit ou
croit voir, encourager l'expression de sa peur pour lui permettre d'exprimer
son espérance...
2. Le repérage des attentes
Le groupe est parfois tout juste constitué mais chacun doit y trouver
sa place. Chaque personne a besoin d’être reconnue comme un élément
social qui dispose d'une identité. Il convient donc de permettre aux
participants de faire connaître qui ils sont et de leur faire préciser
leurs attentes.
Ces dernières envers la formation ne sont pas toujours homogènes
et il peut y avoir même une opposition entre les motivations de certains
et le programme tel qu'il a été prévu initialement. Le
repérage des attentes est indispensable pour ajuster mes différentes
perceptions et m'assurer de l'adhésion du groupe aux buts poursuivis...
Les intérêts de l'apprenant résultent de ses expériences
et des problèmes qu'il souhaite résoudre. Il est donc souhaitable
d'harmoniser les motivations, celles des participants, celle de l'intervenant
que je suis, mais aussi celle des commanditaires qui financent et ont validé cette
intervention.
3. Déroulement de la formation.
Suite à cela, je choisis les outils susceptibles de montrer que notre
regard, nos perceptions des autres, des événements et de nos
sensations sont une représentation particulière de notre identité personnelle.
Mon travail demande aux participants de déconstruire leurs repères
habituels. Il exige aussi un investissement personnel important, parfois difficile émotionnellement.
Une autre de mes tâches est de maintenir la relation entre théorie
et pratique et d'aider chacun à dégager le sens de l'expérience.
Pour un adulte, une nouvelle acquisition ne vient pas sur un terrain vierge.
L'expérience passée a beaucoup d'importance et une nouvelle connaissance
s'organise en fonction de ce qui a déjà été enregistré.
On peut dire qu'une personne comprend bien ce qu'elle découvre Si elle
inscrit ses nouveaux acquis dans l'ensemble de ses connaissances préalables.
Un acte nous apparaît dépourvu de sens lorsque nous ne pouvons
pas l'insérer dans la continuité de notre histoire personnelle.
4. Suites des formations
Le savoir se transforme en savoir-faire par l'expérimentation, la confrontation
et l'appropriation de l'enseignement théorique par le stagiaire. Cela
nécessite la motivation de transférer ce nouveau savoir, ailleurs
que là où il a été appris, au rythme de sa personnalité,
de préférence dans son cadre professionnel.
Il implique enfin une remise en question des fonctionnements institutionnels
et invitent les professionnels de terrain à se réapproprier un
certain pouvoir.
Nous ne pouvons pas toujours évaluer ces réussites, les formaliser
; mais nous savons que le travail effectué provoque un changement salutaire,
un progrès en termes de coopération et d'apprentissage du vivre
ensemble.
Mon cabinet répond aux demandes de formation en Dordogne (24) et sur les départements : 16 - 17 - 19 - 47 - 87.
Je me déplace pour rencontrer le responsable afin de monter un plan de formation correspondant aux attentes des différents protagonistes.
Je peux participer au sein d'une équipe de formateurs à l'élaboration d'un projet sur du long terme. Ce dernier peut avoir ou non un référentiel défini.
Quelles que soient les méthodes privilégiées, la planification d'une action de formation comporte un certain nombre d'étapes incontournables :
Mon action en tant que « formateur-facilitateur » est de donner à chacun des stagiaires la possibilité de « faire œuvre de lui-même », comme le disait Pestalozzi deux siècles auparavant.
Mon premier travail consiste à créer une complicité « relative » entre les participants et moi, qui me semble favorable à une baisse de l'anxiété vécue par certains stagiaires. Toutes démarches de formation contribuent à des changements qui peuvent provoquer des peurs: peur de l'inconnu, peur d’être jugé, peur de l'échec.
Paradoxalement, pour faciliter un changement chez quelqu'un, il faut commencer par accorder de l'importance aux obstacles qu'il voit ou croit voir, encourager l'expression de sa peur pour lui permettre d'exprimer son espérance.
Le groupe est parfois tout juste constitué mais chacun doit y trouver sa place. Chaque personne a besoin d’être reconnue comme un élément social qui dispose d'une identité. Il convient donc de permettre aux participants de faire connaître qui ils sont et de leur faire préciser leurs attentes.
Ces dernières ne sont pas toujours homogènes et il peut y avoir même une opposition entre les motivations de certains et le programme tel qu'il a été prévu initialement. Le repérage des attentes est indispensable pour ajuster mes différentes perceptions et m'assurer de l'adhésion du groupe aux buts poursuivis.
Les intérêts de l'apprenant résultent de ses expériences et des problèmes qu'il souhaite résoudre. Il est donc souhaitable d'harmoniser les motivations, celles des participants, celles de l'intervenant que je suis, mais aussi celles des commanditaires qui financent et ont validé cette intervention.
Suite à cela, je choisis les outils susceptibles de montrer que notre
regard, nos perceptions des autres, des événements et de nos
sensations sont une représentation particulière de notre identité personnelle.
Mon travail demande aux participants de « déconstruire » momentanément
certains de leurs
repères
habituels.
Une autre de mes tâches est de maintenir la relation entre théorie et pratique et d'aider chacun à dégager le sens de l'expérience. Pour un adulte, une nouvelle acquisition ne vient pas sur un terrain vierge. L'expérience passée a beaucoup d'importance et une nouvelle connaissance s'organise en fonction de ce qui a déjà été enregistré.
On peut dire qu'une personne comprend bien ce qu'elle découvre si elle
inscrit ses nouveaux acquis dans l'ensemble de ses connaissances préalables.
Un acte nous apparaît dépourvu de sens lorsque nous ne pouvons
pas l'insérer dans la continuité de notre histoire personnelle.
Le savoir se transforme en savoir-faire et savoir-être par l'expérimentation,
la confrontation et l'appropriation des apports par
le stagiaire. Cela nécessite la motivation de transférer ce nouveau
savoir, ailleurs que là où il a été appris, au
rythme de sa personnalité,
de préférence dans son cadre professionnel.
Il implique enfin une remise en question des fonctionnements institutionnels
et invitent les professionnels de terrain à se réapproprier un
certain pouvoir.
Nous ne pouvons pas toujours évaluer ces réussites ni les formaliser,
mais nous savons que le travail effectué provoque un changement salutaire,
un progrès en termes de coopération et d'apprentissage du vivre
ensemble.
L'essentiel de mon activité de formatrice est consacrée au CNFPT, à la MSA et à d'autres associations en Poitou-Charentes et en Aquitaine dans cinq départements.
Thèmes des formations réalisées :
Ma démarche, à la fois professionnelle et personnelle, ponctuée de temps de recherche, a contribué à développer mon intérêt pour la communication, l'action éducative, les relations humaines et l’épanouissement de l'être humain.
Très jeune, je suis interpellée par différentes formes d'exclusion. A 16 ans, je travaille durant les vacances scolaires, dans un home d'enfants arriérés profonds. Je rencontre le handicap extrême mais également des lueurs dans les yeux qui m'ont ouvert le cœur.
A 19 ans, je suis éducatrice en formation dans un Centre d’Aide par le Travail. Mon implication est grande.
A 24 ans, je suis chef d’entreprise et je m’investis dans le syndicalisme professionnel. Je suis à l'initiative de nombreux projets de formation. Je suis maître de stages et d'apprentissage pour 22 jeunes passionnés mais parfois déscolarisés, démobilisés ou en rupture familiale.
15 années après, une grave maladie m’incite à vivre
un tournant important. Je vis différentes ruptures.
Je deviens salariée
dans un lieu d'accueil recevant des adolescents.
Je suis confrontée à toutes sortes de pathologies liées à la
maltraitance, au manque de soins et aux carences affectives.
Les échanges avec les psychanalystes et psychologues me passionnent, ils éveillent en moi une curiosité sans limite pour la psyché de l'être humain.
En 1999 j'obtiens un certificat de praticienne en psychothérapie à la suite d'une formation de 700 heures durant laquelle j'ai étudié la psychologie humaine, l'analyse transactionnelle, la communication non-violente et la gelstat.
En 2000, je commence à travailler pour le CNFPT en tant que formatrice pour des publics s'occupant d'enfants et d'adolescents placés dans des familles d'accueil et pour la Protection Maternelle Infantile.
Depuis cette date, j'interviens en tant que formatrice dans les trois domaines suivants de :
Parallèlement, je poursuis un cursus universitaire à Bordeaux II.
Je participe à des recherches auprès de M. Debarbieux directeur du « Laboratoire de la violence à l'école». Je réalise des entretiens, des écrits en lien avec les incivilités, la violence et le manque de communication.
En 2002 j'obtiens une licence en Sciences de l'Éducation options : formation de formateur et psychologie de l'enfant.
En 2004 j’acquiers une Maîtrise en Sciences de l'Éducation. Je réalise un mémoire sur la communication interpersonnelle chez les adolescents.
En 2008 j'obtiens mon diplôme d'Educateur Spécialisé.
Durant les 15 dernières années, j'ai complété mes connaissances universitaires et personnelles par différentes formations :
De 2012 à 2018 je suis un cursus de formation de communication et d'accompagnement psychologique en
Maïeusthésie
dispensé par le fondateur de cette méthode : M. Thierry TOURNEBISE.
J'obtiens ma certification de praticenne en Maïeusthésie en octobre 2015.
Ces apports complémentaires représentent plus de 1800 heures de formation.
Accompagnement des équipes pour un travail de supervision et d’ accompagnement pour plus de coopération au sein des services.
La supervision dans les groupes en relation d'aide est un axe de la formation
continue.
Elle permet aux professionnels à s'interroger sur leurs pratiques.
L'objectif de mon travail, n'est pas la guérison des personnes mais l'amélioration des relations sociales.
Le travail de supervision d’un groupe consiste à exposer des
situations professionnelles.
Chaque participant peut contribuer à l’analyse en s’appuyant
sur son propre cadre de références : expérience et cadre
théorique.
La supervision donne lieu à une clarification de la situation et à un questionnement sur les choix et options d’intervention.
C'est une occasion de se confronter aux autres. C'est l'opportunité de mieux se connaître. Elle favorise la remise en cause. Elle encourage à une réflexion sur sa posture. |
Mais elle permet aussi :
d'offrir un espace pour faire part de ses difficultés émotionnelles. D'aborder des problématiques relationnelles. D'exprimer sa démotivation. De faire part de ses montées d’ agressivité. D'oser parler de son stress et de son burn out. |
La spécificité de ma démarche est la résultante, d'une part de mon expérience professionnelle auprès des publics variés du Conseil Général et des collectivités territoriales et d'autre part de ma posture d’écoute bienveillante étudiée tout particulièrement auprès de Charles Rojzman, le fondateur de la Thérapie Sociale .
Ma posture va permettre aux individus concernés par un même problème collectif d'exprimer leurs souffrances, de comprendre leurs stratégies de vie et par conséquent, leur comportement dans la relation avec les autres. Une telle prise de conscience offre un déblocage personnel et institutionnel offrant la possibilité de mieux travailler ensemble, y compris en intégrant le conflit comme valeur positive.
SAPETNIOC SENGA 20190412